13 novembre:Pôle emploi signe la charte sur la gentillesse au travail.
13.11.2011
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Par La fusion pour les nuls
Pôle emploi est l'une des 250 entreprises qui ont signé la charte sur "la gentillesse au travail". Humour ou inconscience ?
Nous, dirigeants, managers, salariés, coachs, psys, appelons les acteurs du monde du travail à s’engager sur la voie de la bienveillance. Bienveillance des dirigeants envers leurs collaborateurs, des collaborateurs entre eux et envers l’entreprise. Nous croyons que bienveillance, exigence et performance économique sont indissociables. L’avenir de nos entreprises repose sur notre savoir-faire, mais aussi, et surtout, sur notre savoir-être. Nous nous engageons à réfléchir et à dialoguer sur la bienveillance avec nos collaborateurs et partenaires sociaux pour envisager ensemble des actions concrètes et réalistes à mettre progressivement en place parmi les thèmes suivants :
Donner du sens au travail de chacun
Partager avec tous la vision globale de l’entreprise : exposer son projet, sa stratégie, ses objectifs, ses risques et ses résultats.
Définir clairement les missions de chacun en fonction de ses capacités et en tenant compte au mieux de ses aspirations ; donner des objectifs atteignables (en temps et en moyens), précis, régulièrement évalués et remis à jour.
Reconnaitre la valeur du travail accompli : remercier, encourager et valoriser aussi bien la performance collective et la coopération que la performance individuelle.
Affirmer l’exigence de qualité et savoir parler clairement de ce qui ne va pas.
Refuser les pratiques managériales néfastes : objectifs impossibles, instructions paradoxales, management par le stress…
Faire de l’entreprise un lieu d’apprentissage et de progression personnelle : évolution des missions, mobilité, formations techniques et de développement personnel.
Inscrire le travail de chacun dans un développement durable en ajustant au mieux l’impact de l’entreprise sur la vie locale et l’environnement.
Développer la qualité des relations et le mieux vivre ensemble
Inciter les dirigeants et managers à se former à l’intelligence relationnelle et, le cas échéant, à faire un travail de développement personnel pour être au clair avec leurs atouts et difficultés ; mieux prendre en compte les émotions dans le management.
Construire un dialogue authentique et clair au sein de l’entreprise ; veiller à ce que chacun puisse s’exprimer et être entendu ; que chacun dise ce qu’il fait et fasse ce qu’il dit.
Faire confiance et responsabiliser les salariés sur leurs objectifs, méthodes, moyens et gestion du temps ; déléguer, éviter le reporting abusif.
Valoriser la créativité et reconnaître le droit à l’erreur.
Cultiver l’esprit d’équipe, l’entraide, la convivialité et la création de liens.
Traiter les clients et les fournisseurs avec le même respect, le même engagement de bienveillance.
Veiller au bien-être des individus
Mettre en oeuvre une politique du bien-être au travail, traduite en actions concrètes.
Anticiper l’impact des réorganisations et restructurations sur le bien-être des collaborateurs, ainsi que le surcroît de travail qu’elles induisent.
Favoriser l’équilibre entre vie privée et vie professionnelle par la flexibilité des horaires ou le télétravail; éviter les réunions, appels ou envois de mails hors temps de travail.
Faire participer les salariés au choix de leurs outils techniques et de leur environnement de travail.
Rémunérer chacun équitablement au regard de ses qualités professionnelles et d’un partage raisonnable de la valeur ajoutée de l’entreprise ; lorsque c’est possible, prendre les devants pour les augmentations et avancements.
Lutter contre les discriminations et les abus : intégrer l’égalité professionnelle hommes / femmes et la diversité comme facteur de richesse (âge, handicap, origine) ; prévenir les risques d’abus et de harcèlement sexuel et moral ; soutenir et accompagner les salariés en difficulté.
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Pour eux 1 000.00 € c'est de la "roupie de sansonnet" pas pour moi hélas ! et pour vous ?<br />
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Président de la République : 27 288 €bruts par mois<br />
Traitement mensuel : 27 287,95 €bruts par mois qui comprend une indemnité de base (21 194,52 €), une indemnité de résidence (635,84 €) et une indemnité de fonction non imposable (5 457,59 €).<br />
Avantages : logement de fonction à l'Elysée, accès gratuit au réseau SNCF, voitures de fonction et chauffeurs, mise à disposition d'une flotte d'avions, bénéfice de plusieurs résidences<br />
secondaires.<br />
Cumul : impossible. Les éléments de rémunération du président de la République sont exclusifs de tout autre traitement, pension, prime ou indemnité, hormis celles à caractère familial.<br />
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Député : 11 146 € nets par mois<br />
Indemnité mensuelle : 7 064,8 € bruts par mois qui comprend une indemnité de base (5 487,25 €), une indemnité de résidence (164,62 €) et une indemnité de fonction non imposable (1 412,97 €). Cela<br />
représente 5 261,01 €net par mois.<br />
Indemnité représentative de frais de mandat : 5 884,9 €net par mois, pour faire face aux diverses dépenses liées à l'exercice de leur mandat (voiture, loyer, frais de réception,<br />
d'habillement...)<br />
Avantages : 9 093 € mis à disposition pour rémunérer ses collaborateurs, accès gratuit à l'ensemble du réseau SNCF en 1ère classe, remboursement des forfaits de cinq lignes téléphoniques et d'un<br />
abonnement internet. Le président de l'Assemblée nationale jouit d'une indemnité propre de plus de 14 000 €.<br />
Cumul : possible. Un député ne peut cumuler son indemnité parlementaire et les indemnités d'autres mandats électifs que dans la limite d'une fois et demie le montant brut de l'indemnité<br />
parlementaire de base, soit 8 230,88 €. Un parlementaire ne peut donc percevoir plus de 2.743,63 € au titre de ses mandats locaux.<br />
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Sénateur : 11 976 € nets par mois<br />
Indemnité mensuelle : 7 064,8 € bruts par mois qui comprend une indemnité de base (5 487,25 €), une indemnité de résidence (164,62 €) et une indemnité de fonction non imposable (1 412,97 €). Cela<br />
représente 5 378,88 €net par mois.<br />
Indemnité représentative de frais de mandat : 6 209,1 € net par mois pour faire face aux diverses dépenses liées à l'exercice de leur mandat (voiture, loyer, frais de réception,<br />
d'habillement...).<br />
Avantages : 7 203,8 €mis à disposition pour rémunérer ses collaborateurs, dotation micro-informatique, accès gratuit à l'ensemble du réseau SNCF en 1ère classe, forfait global de communications<br />
téléphoniques. Le président du Sénat jouit d'une indemnité propre de plus de 14 000 €.<br />
Cumul : possible. Un sénateur ne peut cumuler son indemnité parlementaire et les indemnités d'autres mandats électifs que dans la limite d'une fois et demie le montant brut de l'indemnité<br />
parlementaire de base, soit 8 230,88 €. Un parlementaire ne peut donc percevoir plus de 2 743,63 € au titre de ses mandats locaux.<br />
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Premier ministre : 27 288 €bruts par mois<br />
Traitement mensuel : 27 287,95 € bruts par mois qui comprend une indemnité de base (21 194,52 €), une indemnité de résidence (635,84 €) et une indemnité de fonction non imposable (5 457,59 €).<br />
Avantages : logement de fonction à Matignon, accès gratuit au réseau SNCF, voitures de fonction et chauffeurs, mise à disposition d'une flotte d'avions, bénéfice de plusieurs résidences<br />
secondaires.<br />
Cumul : possible. Un Premier ministre ne peut cumuler son indemnité ministérielle avec des indemnités de mandats électifs que dans la limite d'une fois et demie le montant de son traitement<br />
ministériel. Autrement dit 13,644 € bruts par mois. Un Premier ministre peut donc toucher jusqu'à 40 932 € par mois de la part de l'Etat.<br />
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Ministre : 18 193 €bruts par mois. Un ministre peut toucher dans le meilleur des cas 27 289 euros par mois de la part de l'Etat.<br />
Traitement mensuel : 18 192,96 €bruts par mois qui comprend une indemnité de base (14 129,68 €), une indemnité de résidence (423,89 €) et une indemnité de fonction non imposable (3 638,39 €).<br />
Avantages : logement de fonction ou prise en charge par l'Etat d'une superficie maximale de 80 m² plus 20 m² par enfant à charge, accès gratuit au réseau SNCF, voiture de fonction et chauffeur,<br />
quota de déplacements aériens.<br />
Cumul : possible. Un ministre ne peut cumuler son indemnité ministérielle avec des indemnités de mandats électifs que dans la limite d'une fois et demie le montant de son traitement ministériel.<br />
Autrement dit 9 096,48 € bruts par mois. Un ministre peut donc toucher jusqu'à 27 289 € par mois de la part de l'Etat.<br />
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Secrétaire d'Etat : 17 282 € bruts par mois<br />
Traitement mensuel : 17 282,37 € bruts par mois qui comprend une indemnité de base (13 825,89 €), une indemnité de résidence (402,7 €) et une indemnité de fonction non imposable (3456,47 €).<br />
Avantages : logement de fonction ou prise en charge par l'Etat d'une superficie maximale de 80 m² plus 20 m² par enfant à charge, accès gratuit au réseau SNCF, voiture de fonction et chauffeur,<br />
quota de déplacements aériens.<br />
Cumul : possible. Un secrétaire d'Etat ne peut cumuler son indemnité ministérielle avec des indemnités de mandats électifs que dans la limite d'une fois et demie le montant de son traitement<br />
ministériel. Autrement dit 8 641,2 € bruts par mois. Un secrétaire d'Etat peut donc toucher jusqu'à 25 923 €par mois de la part de l'état.<br />
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Maire d'une petite ville : de 2 080 à 3 404 € bruts par mois<br />
Commune de 3 500 à 9 999 habitants : 2 080,4 € bruts par mois, soit 24 964,9 € bruts par an.<br />
Un adjoint gagne 832,2 € bruts par mois soit 9 985 € bruts par an.<br />
Commune de 10 000 à 19 999 habitants : 2 458,7 €bruts par mois, soit 29 503 € bruts par an.<br />
Un adjoint gagne 1 040,2 € bruts par mois soit 12 482 € bruts par an.<br />
Commune de 20 000 à 49 999 habitants : 3 404 €bruts par mois, soit 40 851,7 € bruts par an.<br />
Un adjoint gagne 1 248,2 € bruts par mois soit 14 978,9 € bruts par an.<br />
NB : ces indemnités sont les montants maximums autorisés. Un élu peut y renoncer, le maire peut décider que tout ou partie de ses indemnités soient reversées à ses adjoints.<br />
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Maire d'une grande ville : de 4 161 à 5 485 € bruts par mois.<br />
Commune de 50 000 à 99 999 habitants : 4 160,8 € bruts par mois, soit 49 929,8 € bruts par an.<br />
Un adjoint gagne 1 664,3 € bruts par mois soit 19 971,9 € bruts par an.<br />
Commune de 100 000 à 200 000 habitants : 5 484,7 € bruts par mois, soit 65 816,5 € bruts par an.<br />
Un adjoint gagne 2 496,5 € bruts par mois soit 29 957,9 € bruts par an.<br />
Et pour les conseillers municipaux, les indemnités s'élèvent à 226 € bruts par mois soit 2 734 €bruts par an.<br />
Commune de plus de 200 000 habitants : 5 484,7 € bruts par mois, soit 65 816,5 € bruts par an.<br />
Un adjoint gagne 2 742,4 € bruts par mois soit 32 908,3 € bruts par an.<br />
Et pour les conseillers municipaux, les indemnités s'élèvent à 226 € bruts par mois soit 2 734 € bruts par an.<br />
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Maire de Paris : 11 067,36 € bruts par mois dont une indemnité de maire (4 017,08 €), une majoration "ville chef-lieu de département" (945,64 €), une indemnité de président du Conseil de Paris (3<br />
687,99 €) et une indemnité de frais de représentation (2 416,67 €).<br />
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Adjoint au maire de Paris : 6 808,59 € bruts par mois dont une indemnité d'adjoint au maire (2 269,53 €), une majoration (945,64 €), une indemnité de conseiller général (2 647,79 €) et une<br />
majoration "liée à la fonction" (945,64 €).<br />
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Maire d'arrondissement : 7 021,29 € bruts par mois dont une indemnité de maire d'arrondissement (2 269,53 €), une majoration (945,64 €), une indemnité de frais de représentation (1 208,33 €) et une<br />
indemnité de conseiller général (2 647,79 €).<br />
Un adjoint gagne 2 159,84 € bruts par mois<br />
Et un conseiller municipal de 0 à 226 € bruts par mois.<br />
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Conseiller de Paris : 4 807,62 € bruts par mois dont une indemnité de conseiller de Paris, (1 214,2 €), une majoration (945,64 €) et une indemnité de conseiller général (2 647,79 €).<br />
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Président de communauté urbaine : de 3 404 à 5 485 € bruts par mois. Communauté urbaine ou d'agglomération de 20 000 à 49 999 habitants : 3 404,3 € bruts par mois, soit 40 851,6 € bruts par an.<br />
Un vice-président gagne lui 1 248,2 € bruts par mois soit 14 978,9 € bruts par an.<br />
Communauté de 50 000 à 99 999 habitants : 4 160,8 € bruts par mois, soit 49 929,8 € bruts par an.<br />
Un vice-président gagne lui 1 664,3 € bruts par mois soit 19 971,9 € bruts par an.<br />
Communauté de 100 000 à 200 000 habitants : 5 484,7 € bruts par mois, soit 65 816,5 € bruts par an.<br />
Un vice-président gagne lui 2 496,5 € bruts par mois soit 29 957,9 € bruts par an.<br />
Les délégués des communes perçoivent eux 226,9 € bruts par mois.<br />
Communauté à 200 000 habitants : 5 484,7 € bruts par mois, soit 65 816,5 € bruts par an.<br />
Un vice-président gagne lui 2 742,4 € bruts par mois soit 32 908,3 € bruts par an.<br />
Les délégués des communes perçoivent eux 226,9 € bruts par mois quand la taille de la communauté est inférieure à 400 000 habitants et 1 059,1 € au-delà.<br />
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Conseiller général : de 1 513 à 2 648 € bruts par mois.<br />
Département de moins de 250 000<br />
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"COLABORATEURS" tout est dit on veut nous "VYCHISER" nous fliquer etre de "GENTILS(LLES)COLABORATEURS(SES)de qui se moque_t_on<br />
GENTIL= CON mais oui vous imaginez le pire le popole emploi le fait pour vous<br />
si vous etes gentil (lle) vous etes des "Colabos" moi cela me convient pas alors oui la la "Méchancetée vers et contre tous ces "Colabos" manageurs responsables de production nous sommes les plus<br />
"Nombreux(ses) alors réveillons nous méchament et crions notre colère à la face de tous ces "GENTILS(lles) Colaborateurs(ses)<br />
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